retour à l'accueil
vous êtes ici: saison 10-11 / Harold et Maude

HAROLD ET MAUDE

De Colin Higgins

Mise en scène de Jean Liermier

présentation

UN MYTHE DU XXe SIÈCLE

 

CATHERINE SALVIAT MAUDE GAËL KAMILINDI HAROLD BRIGITTE ROSSET MRS CHASEN SABRINA MARTIN SYLVIE GAZELLE, NANCY MARSCH, ROSE D’ORANGE YVES JENNY LE PRÊTRE, MARIE, UN DÉMÉNAGEUR FRANÇOIS REVACLIER LE DOCTEUR, L’INSPECTEUR BERNARD, LE JARDINIER  PETER WILKINSON LE SERGENT DOPPEL, LE JARDINIER CHEF

SCÉNOGRAPHIE
PHILIPPE MIESCH LUMIÈRES LAURENT JUNOD COSTUMES CORALIE SANVOISIN MASQUES ET COIFFURE MARIE MESSIEN UNIVERS SONORE MANU RUTKA EFFETS SPÉCIAUX LAURENT BOULANGER ACCESSOIRES ELÉONORE CASSAIGNEAU ASSISTANTE MISE EN SCÈNE BÉRANGÈRE GROS

 

EQUIPE DÉCOR RÉALISATION DÉCOR CÉDRIC BACH, GRÉGOIRE DE SAINT SAUVEUR, MARTIN RAUTENSTRAUCH,CHRISTOPHE REICHEL, NICOLAS VON DER BORCH, JEAN-MARC LAINÉ ET PETER WILKINSON CONSTRUCTION ET MONTAGE CELSO ALVES DE MELO, ANGELO BERGOMI, PHILIPPE BOTTEAU, CHRISTOPHE CRAUSAZ, MICHEL CROPTIER, PHILIPPE DUNANT, BASTIEN GACHET, JOSÉ PIRES-LIBERATO ET FERAT UKSHINI TAPISSIER JEAN-PIERRE BALSIGER, MARION SCHMIDT PEINTURE VALÉRIE MARGOT, ERIC VUILLE COUTURE KARIMA HABBES, VÉRONICA SEGOVIA STAGIAIRES JASEN HONSPERGER, ALIX VANHOUTEGHEM

EQUIPE COSTUMES ASSISTANTE ET CHEF D’ATELIER ANNA HAGMANN RÉALISATION MAGALI ANGELINI, ANNA CLEEVES,  AMANDINE RUTSCHMANN STAGIAIRES SAMUEL BONY, NATACHA FERRANI,  MARCO GOMES ET CLÉMENCE ROGER

EQUIPE MASQUES ET COIFFURE ASSISTANTE REBECCA FLORES-MARTINEZ PRISE D’EMPREINTES ATELIER STUDIO DU FARD COUTURE CÉLIA FRANCESCHI STAGIAIRES MÉLINA KUPFER, KATJA PIEPENSTOCK

EQUIPE TECHNIQUE DIRECTEUR TECHNIQUE CHRISTOPHE DE LA HARPE RÉGISSEUR GÉNÉRAL ET SON MANU RUTKA RÉGISSEUR LUMIÈRE EUSEBIO PADURET RÉGISSEUR PLATEAU GRÉGOIRE DE SAINT SAUVEUR ET PETER WILKINSON HABILLAGE ET COIFFURE CÉCILE VERCAEMER-INGLES HABILLAGE EMILIE REVEL

REMERCIEMENTS GRAHAM BROOMFIELD, BÉNÉDICTE PESSER

Avec un sens de l’humour particulier, Harold, jeune homme à l’imagination fertile, invente d’improbables stratagèmes pour mettre en scène sa mort. Maude, vieille dame tout aussi créative, vole des voitures, les conduit sans permis, crée un piano à odeurs…

Il a dix-neuf ans. Elle, septante-neuf. Leur histoire sera celle d’une improbable rencontre amoureuse. « Je renifle dans cette fable un parfum de Peter Pan, un mythe du XXe siècle », remarque Jean Liermier qui ne perd pas de vue que « sous ses airs de Mary Poppins, Maude est une rebelle rageuse qui porte sur l’avant-bras le souvenir d’un séjour en Bavière : D-726350 ».

Dans leur folle cavalcade, les héros de cette histoire d’amour initiatique croisent une galerie de personnages fantasques : la mère, le psychanalyste, le prêtre, l’inspecteur, le jardinier… Des condensés d’humanité qui se télescopent lors d’une course contre la montre étourdissante et délicate : le manège de la vie.

Production  Théâtre de Carouge - Atelier de Genève. Spectacle réalisé avec le soutien de JT International SA.

Le Théâtre de Carouge-Atelier de Genève en collaboration avec le Département de la Culture de la Ville de Genève et le Télétexte proposent un surtitrage de la pièce pour les spectateurs sourds ou malentendants  Les 13, 15, 16, 17, 18 et 19 mars 2011. Les personnes intéressées sont priées de s'annoncer lors de la réservation des billets afin de bénéficier de places adéquates.

éclairage

MAUDE : UN ANGE DE LA VIE


Figure emblématique des années 70, Maude continue aujourd’hui de nourrir l’imaginaire du spectateur. Pétillante, excentrique, anticonformiste militante, elle a prêté son histoire aux plus grandes comédiennes : Madeleine Renaud dans la mise en scène de Jean-Louis Barrault, Denise Grey nominée aux Molières en 1987, Danielle Darrieux ou, cette saison à Carouge, Catherine Salviat, sociétaire honoraire de la Comédie-Française.

Un défi. Car Maude est un personnage complexe, incarnant un univers empli d’odeurs, de saveurs, de mélodies, de formes et de couleurs qui porte aussi, au plus profond d’elle, un monde marqué par la mort. Survivante des camps de concentration, son tatouage rappelle ce devoir d’existence, ultime rempart contre la folie des hommes.

Ce serait sans doute limiter la portée de ce personnage que de réduire Maude à l’utopie libertaire de la fin des années 60, comme dans le film sorti en 1971. Maude ne théorise pas, mais se bat contre toute forme d’idéologie, agit simplement selon ses codes.

Plus encore, ce qu’elle lègue à Harold, c’est une force de vie supérieure, faites de trucs et d’astuces, afin que les émotions puissent défier sans crainte la réalité.

Biographies

JEAN LIERMIER

Jean Liermier est diplômé de l’École Supérieure d’Art Dramatique de Genève (Conservatoire). Depuis 1992, il a travaillé comme comédien en Suisse Romande et en France sous la direction de C. Stratz, H. Loichemol, M. Voïta, R. Vachoux, P. Morand, D. Catton et d’André avec qui il collabore depuis comme assistant à la mise en scène. Il signe sa première collaboration artistique à la mise en scène avec Claude Stratz au théâtre du Vieux Colombier pour Les Grelots du Fou de Pirandello. A l’opéra, il a mis en scène The Bear du compositeur contemporain anglais Walton pour l’Opéra Décentralisé Neuchâtel, La Flûte Enchantée de Mozart pour l’Opéra de Marseille, Cantates Profanes, une petite chronique, montage autours de cantates de J.S Bach pour l’Opéra National du Rhin, Les Noces de Figaro de Mozart pour l’Opéra National de Lorraine et celui de Caen. Depuis 1999, il a mis en scène au théâtre, La Double inconstance de Marivaux, Zoo story de E. Albee, Peter Pan de J.M. Barrie, Loin d’Hagondange de J.P. Wenzel, On ne badine pas avec l’Amour d’Alfred de Musset, Le Médecin malgré lui de Molière. Pour la Comédie Française, il créé Les Sincères de Marivaux au Studio théâtre en 2007 puis Penthésilée de Heinrich von Kleist à la Salle Richelieu. Au printemps 2008, il a mis en scène Les Caprices de Marianne  d’A. de Musset au Théâtre de Vidy-Lausanne dans le cadre d’un partenariat Pro-Helvetia. Le jeu de l’amour et du hasard de Marivaux est sa première mise en scène en tant que directeur du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève

COLIN HIGGINS

Colin Higgins est un réalisateur, scénariste  et producteur américain né le 28 juillet 1941 à Nouméa  en Nouvelle-Calédonie, d’un père américain  et d’une mère australienne, et décédé le 5 août  1988 à Beverly Hills.
Il est titulaire d’un bachelor’s degree de l’Université Stanford et d’un master of fine arts (MFA) de l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA).
Il est auteur du scénario du film Harold et Maude, sorti en 1971 et qui a connu un vif succès. De ce scénario, Colin Higgins a tiré un roman, puis une pièce qui a été adaptée en français par Jean-Claude Carrière.

 

Jean-Claude Carrière

Né en 1931 dans l’Hérault, Jean-Claude Carrière se définit lui-même comme un « conteur ». Son activité se déploie dans de nombreux genres : romans, essais, poèmes, scénarios. Dans ce dernier genre, son œuvre est particulièrement fournie ; il a écrit pour les plus grands réalisateurs et contribué à des films marquants : Luis Buñuel (notamment Belle de jour en 1967 et Cet obscur objet du désir en 1977), Volker Schlöndorff (notamment Le Tambour, 1979), Jean-Luc Godard (notamment Sauve qui peut (la vie), 1980), Daniel Vigne (Le Retour de Martin Guerre, 1982, César du meilleur scénario original), Andrzej Wajda (Danton, 1983), Miloš Forman (Valmont, 1989), Louis Malle (notamment Milou en mai, 1990), Jean-Paul Rappeneau (Cyrano de Bergerac en 1990 et Le Hussard sur le toit en 1993). En 2009, il a participé à la création du scénario du Ruban blanc de Michael Haneke (Palme d’or au festival de Cannes). Jean-Claude Carrière a aussi joué dans plusieurs films. Pour le théâtre, il a écrit plusieurs pièces, dont la célèbre Controverse de Valladolid, adaptée de son roman éponyme, montée par Jacques Lassalle en 1993. Sa dernière pièce, Audition, a été mise en scène par Bernard Murat au Théâtre Edouard VII à Paris. Harold et Maude, d’après le scénario de Colin Higgins, écrit en 1973 à la demande de Jean-Louis Barrault, fut la première de ses adaptations pour la scène. Plusieurs de celles-ci ont été conçues pour Peter ainsi qu’Irina Brook et créées au Théâtre des Bouffes du Nord (Molière de l’adaptateur en 1990 pour La Tempête d’après Shakespeare).

 

CATHERINE SALVIAT (MAUDE)

Entrée à la Comédie Française en 1969, elle en est sociétaire dès 1977 et sociétaire honoraire depuis janvier 2006. Elle porte avec charisme et sensibilité un nombre important de grands rôles à la scène, principalement dans le répertoire classique. Elle travaille notamment sous la direction de : Jean-Paul Roussillon, Jean-Luc Boutté, Jean-Pierre Vincent, Jacques Lassalle, Omar Porras, André Engel, Daniel Mesguich, Roger Blin, Charles Tordjman, Christian Schiaretti, Valère Novarina, Stuart Seide, Jean-Louis Barrault, Gildas Bourdet, Franco Zefirelli entre autres.
En 1988, elle obtient le Molière de la meilleure comédienne dans un second rôle pour le rôle de Constance dans Dialogues des Carmélites.
Au cinéma et à la télévision Elle travaille sous la direction d’Edouard Molinaro, Coline Serreau, Renaud Cohen, Marcel Bluwal, Elisabeth Rappeneau, Robert Guédiguian, Laurent Jaoui notamment.
Elle présente des spectacles poétiques sur le XVIIème, le XVIIIème et le XIXème siècle et un spectacle sur la nature avec Aladin Riebel.


GAEL KAMILINDI (HAROLD)

Diplômé du Conservatoire de Genève, il poursuit sa formation au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris. Il a plusieurs expériences de jeu à son actif, notamment sous la direction de Jacques Maître, Julien George, Bernard Meister et Frédéric Polier. Durant la saison 2007/2008, il fut acteur en résidence au Théâtre du Grütli de Genève, au sein du collectif 3 / Labo Dante.

BRIGITTE ROSSET (Mrs CHASEN)                         

Née en 1970, Elève de Georges Wod. Premier spectacle en 1988. A travaillé au théâtre de Carouge entre 1994 et 1997. Avec la Cie Confiture et Les degrés de poule entre 1995 et 2005. Depuis 2005, elle a joué sous les directions de Georges Guerreiro,  Etienne de Balasy, Jean-Luc Barbezat, Michèle Guigon... Elle vient de terminer la tournée de son deuxième solo Suite matrimoniale, avec vue sur la mère après plus de 120 représentations, en Suisse Romande et en France. Au mois de juin elle retrouvera Georges Guerreiro au théâtre de l'Alchimic, Elle sera Béatrice dans Jean et Béatrice de Carolle Fréchette.  Elle prépare son troisième "seul en scène" pour la rentrée 2011.

SABRINA MARTIN (NANCY MARSCH, SYLVIE GAZELLE, ROSE D’ORANGE)

Sabrina Martin est née en 1980 à Genève. Elle est formée « sur le tas » grâce aux comédiens qui l'entourent, et à ceux qui l'ont dirigée jusqu'à présent. Comme comédienne, elle travaille notamment sous la direction de Eric Devanthéry dans Les Présidentes de W. Schwab (2010), de Georges Guerreiro dans Merlin ou la terre dévastée (2010), de Valentin Rossier dans Célébration d'H. Pinter (2007) et La noce chez les petits bourgeois de B. Brecht (2008), de Michel Favre dans L'Inconvenant (2008) de Lorenzo Gabriele, dans Elle ou Moi de G. Boesch (2008-2010), de Pierre Nicole dans L'Ecole des Femmes (2004), du réalisateur Nasser Bakhti dans Aux frontières de la nuit (2005), de Philippe Cohen dans Le médecin malgré lui (2005), ainsi que dans La Revue genevoise (2001-2002) et divers sitcoms et téléfilms de 2000 à 2007.

FRANÇOIS REVACLIER (LE DOCTEUR, L’INSPECTEUR BERNARD, LE JARDINIER)

François Revaclier est né fin des années soixante dans la région genevoise. Lors de ces dix-huit ans, il a eu une fringale du monde et l'a croqué d'Est en Ouest avant de débuter des études d'art dramatique poursuivi jusqu'en 1997. Aujourd'hui, comédien actif sur les scènes romandes, il a notamment travaillé pour le théâtre sous la direction artistique de François Marin, Bernard Bloch, Anne Bisang, Simone Audemars, André Steiger, Attilio Sandro Palese et Noémie Lapzeson dans le milieu de la danse contemporaine ainsi que Antoine Plantevin, Frédéric Ménissier, Frédéric Réau pour le cinéma. On l’a notamment vu dernièrement au théâtre du Grütli à Genève dans Looking for Marilyn (and me) mis en scène par Denis Maillefer. A la télévision, Sartre, l’âge de la passion réalisé par Claude Goretta et Du rouge sur la croix une réalisation de Dominique Authenin-Girard. En 2005 il a créé sa propre compagnie de théâtre, Latitude45, ouvert sur le monde du théâtre, de la performance et de la musique.


YVES JENNY (LE PRÊTRE, MARIE, UN DÉMÉNAGEUR)

Yves Jenny se forme au Conservatoire de Lausanne et obtient son diplôme en 1987. La même année, il travaille avec Jean-Paul Roussillon et interprète Cléante dans sa mise en scène de L’Avare. Puis il joue sous la direction de Séverine Bujard, Philippe Mentha, Gisèle Sallin. En 1997, il interprète Thomas dans Allegria 147-J, mis en scène par Joël Jouanneau. En 2002, c’est Anne Bisang qui le fait jouer dans La Griffe-Barker et en 2003, il travaille à nouveau avec Jouanneau dans Les Amantes. En 2010, on a pu le voir dans Je tremble (1) de Joël Pommerat et Lignes de faille de Nancy Huston, mis en scène par Véronique Reymond et Stéphanie Chuat.
 

PETER WILKINSON (LE SERGENT DOPPEL, LE JARDINIER CHEF) 

Formé aux Beaux-Arts en Angleterre. Depuis 1985, il a participé onze créations de Benno Besson et leurs tournées, notamment comme assistant du metteur en scène pour La Flûte Enchantée au Palais Garnier en 2000. Depuis 1991, il a participé à neuf créations de Matthias Langhoff et a signé une quinzaine de décors. Il a collaboré sur plusieurs projets de Laurence Calame (univers sonore et lumières), Marcial di Fonzo Bo (décor de La Puissance des Mouches, Le Frigo) ou Javier Dualte. Il a reçu le Prix de la Scénographie en 2004 lors du Festival Sterijino Pozorjie à Novi Sad pour Le Professionnel.

 

En tournée

EN TOURNÉE

 

Lausanne - Théâtre de Vidy-L du 22 au 27 mars 2011
Yverdon - Théâtre Benno Besson 30 mars 2011
Monthey - Théâtre du Crochetan 2 avril 2011
Sion - Théâtre de Valère 5 avril 2011
Neuchâtel - Théâtre du Passage 7 et 8 avril 2011
Vevey - Théâtre de Vevey 12 avril 2011
Fribourg - Nuithonie 14 et 15 avril 2011
Seynod - L’Auditorium 19 avril 2011
Berne - Stadttheater 8 mai 2011

Soirées

Les samedis DJ

Désormais, après la représentation du samedi, le Théâtre de Carouge vous propose de prolonger votre soirée en musique. D’abord au Théâtre, avec un Dj. Puis au Chat Noir pour découvrir de jeunes talents.

  • 5, 12, 19 mars 2011 - Salle François-Simon

Dimanche  au Théâtre

La saison dernière, dans un savoureux duo de catcheurs intellectuels, André Steiger et Richard Vachoux présentaient librement les pièces du Théâtre de Carouge. Cette année, grâce à la complicité d’Anne-Marie Delbart, le Théâtre s’associe aux classes pré-professionnelles d’art dramatique du Conservatoire de musique de Genève. Les premiers dimanches de chaque série de représentations (à partir de 16h), deux étudiants – sous l’œil de leur professeur – répéteront des extraits des pièces programmées et, à leur manière, en feront un commentaire en acte. Une façon inédite et ludique de se familiariser avec des auteurs mais aussi avec le travail d’acteur.

  • 6 mars 2011 

Rencontre avec Catherine Salviat

 Animée par Alexandre Demidoff, chef de rubrique Culture & Société, . À la suite d’un buffet, venez écouter à la Société de Lecture Catherine Salviat, sociétaire honoraire de la Comédie-Française, qui évoquera son parcours à travers le répertoire classique et contemporain, dans la maison de Molière et ailleurs – sans oublier ses lectures phares !  

Pendant ce temps

Théâtre du Châtelard - Abonnement commun

Les Juifs

De Gotthold Ephraïm Lessing - Mise en scène d’Hervé Loichemol
Du mar. 15 mars au di. 3 avril 2011
Du mardi au samedi à 20h, le dimanche à 17h, relâche le lundi.

Après Nathan le sage, Hervé Loichemol retrouve un Lessing audacieux qui montre que le théâtre répond à un principe d’ironie où les questions, même les plus virulentes, n’en finissent pas.

Théâtre Forum Meyrin  - Abonnement commun

Le Vrai Sang

Texte et mise en scène de Valère Novarina.
ma. 29 et me. 30 mars à 20h30.

Ce pourrait être l’histoire de Faust. Non pas celui de Goethe, mais un Faust forain qui aurait vécu à Thonon sous le nom de Gugusse. Sa compagne, Albertine, lui propose toutes les quatre minutes de jouer sa vie aux dés. Où la langue de Novarina brûle d’une cruauté comique.